Argentine: trois fonds vautours américains déboutés
Les trois derniers fonds qui réclamaient le paiement intégral de la dette argentine ont été déboutés par la justice américaine.AFP PHOTO / LEO LA VALLE
Trois
fonds d’investissement américains qui réclamaient des indemnisations à
l’Argentine pour son défaut de paiement remontant à 2001 ont été
déboutés par la justice américaine. Pour l’Argentine, c’est peut-être la
fin d’un cauchemar financier qui a duré quinze ans.
L’Etat
argentin peut espérer voir le bout du tunnel dans le conflit qui
l’oppose depuis des années aux fonds vautours qui s’acharnaient sur lui.
Les créanciers de l’Argentine avaient, pour la plupart, accepté en
2005 et 2010 une restructuration de la dette accumulée lors de la
faillite argentine de 2001.
Seuls les fonds vautours persistaient à réclamer le paiement intégral ainsi que des pénalités et indemnisations. La justice américaine leur a souvent donné raison au cours des dernières années, jusqu’à la conclusion en février dernier d’un accord qui a couté près de dix milliards de dollars au Trésor argentin.
En pleine récession, l’Argentine peut ainsi souffler
Les trois derniers fonds qui s’estimaient insatisfaits ont cette fois été déboutés. Le juge a fait valoir que le gouvernement arrivé au pouvoir fin 2015 avait manifesté toute la bonne volonté nécessaire.
Une bonne nouvelle pour un pays en pleine récession économique : la pauvreté ne cesse d’augmenter au sein de la population et l’inflation a atteint 40 % en 2016.
Seuls les fonds vautours persistaient à réclamer le paiement intégral ainsi que des pénalités et indemnisations. La justice américaine leur a souvent donné raison au cours des dernières années, jusqu’à la conclusion en février dernier d’un accord qui a couté près de dix milliards de dollars au Trésor argentin.
En pleine récession, l’Argentine peut ainsi souffler
Les trois derniers fonds qui s’estimaient insatisfaits ont cette fois été déboutés. Le juge a fait valoir que le gouvernement arrivé au pouvoir fin 2015 avait manifesté toute la bonne volonté nécessaire.
Une bonne nouvelle pour un pays en pleine récession économique : la pauvreté ne cesse d’augmenter au sein de la population et l’inflation a atteint 40 % en 2016.
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