Accéder au contenu principal

Dopage: la Russie toujours pointée du doigt

Dopage: la Russie toujours pointée du doigt

mediaLe drapeau russe porté lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'hiver 2014 à Sotchi.REUTERS/Issei Kato
Tous les regards convergent encore vers la Russie après les révélations du deuxième volet du rapport McLaren. La Fédération de bobsleigh et skeleton a retiré les Mondiaux de 2017 à Sotchi. En biathlon, le Français Martin Fourcade menace de boycotter des épreuves de la Coupe du monde. Côté football, le président de la Fifa, Gianni Infantino, assure que la meilleure solution ne passe pas par le boycott du Mondial 2018.
Le rapport McLaren ne laisse pas insensibles les instances internationales sur l’état du dopage en Russie. Le 9 novembre dernier, lors du second volet dévoilé par le juriste canadien Richard McLaren, plus de 1 000 sportifs russes et plus de 30 sports sont mis en cause dans des pratiques dopantes. Richard McLaren a précisé que les identités de 695 sportifs, dont 19 non-Russes, avaient été transmises aux fédérations internationales concernées.
La Russie peut-elle accueillir la Coupe du monde de football ?
Pour le président de la Fifa, Gianni Infantino, il n’y a aucune raison pour que la Coupe du monde ne se déroule pas sur le sol russe. « Les boycottages et les exclusions n'ont jamais résolu aucun problème. La Fifa n'est pas le gendarme du monde, ni la police mondiale du dopage », déclare dans une interview à l'hebdomadaire allemand Der Spiegel celui qui dirige le football mondial, parue ce lundi 19 décembre, en réponse à une question sur d'éventuelles conséquences de ce scandale sur l'organisation du Mondial 2018.
Toutefois, Gianni Infantino ne prend pas à la légère ces cas de dopage. « Nos organes disciplinaires se saisiront de tout ce qui a trait au football dans le rapport McLaren », assure l’Italo-Suisse âgé de 46 ans, qui ajoute que les instances de la Fifa « attendent encore d'avoir accès à toutes les informations, mais la Fifa a par ailleurs son propre système anti-dopage. J'ai confiance, nos mesures anti-dopages fonctionneront ».

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le Bénin interdit les exportations d'ananas coloré à l'éthéphon

Le Bénin interdit les exportations d'ananas coloré à l'éthéphon Par Claire Fages Diffusion : lundi 19 décembre 2016   L'abus d'éthéphon pour colorer l'ananas au Bénin est sans doute lié à cette particularité variétale, mais aussi à la structuration encore imparfaite de la filière béninoise. ©AFP/PHOTO-KAMPBEL in Partager 9 Réagir print Les autorités béninoises veulent redorer l'image de leur ananas, bloqué l'an dernier aux frontières européennes pour excès d'éthéphon, un produit qui accélère la coloration extérieure du fruit. Le Bénin interdit les exportations d'ananas coloré artificiellement à l'éthéphon. Une mesure radicale annoncée par le gouvernement béninois pour redorer l'image de la filière. L'éthéphon est un éthylène de synthèse parfaitement autorisé en Europe pour accélérer la croissance et la coloration...

Université des sciences et technologies du Bénin

Université des sciences et technologies du Bénin Université des sciences et technologies du Bénin Siège de l'USTB à  Cotonou Informations Fondation 1996 Fondateur   Frédéric Dohou Type Université privée Régime linguistique Français Localisation Coordonnées 6° 22′ 58″ Nord ,  2° 27′ 22″ Est Ville Cotonou Pays   Bénin Campus 2 campus à  Cotonou  et 1 campus à  Porto-Novo Chiffres clés Étudiants 3 798  (en 2007) 1 Niveau Bac+2 à Bac+8 ( Doctorat ) Divers Affiliation Association internationale des universités  (AIU) Réseau des universités des sciences et technologies des pays d'Afrique au sud du Sahara (RUSTA) Géolocalisation sur la carte :  Bénin modifier   L' université des sciences et technologies du Bénin  ( USTB ) est une  université privée  d' Afrique de l'Ouest  dont le siège est situé sur le  domaine universitaire de K...

France: la première «route solaire» inaugurée en Normandie

France: la première «route solaire» inaugurée en Normandie Par RFI Publié le 22-12-2016 Modifié le 22-12-2016 à 22:44 La ministre de l'Environnement Ségolène Royal a inauguré des panneaux photovoltaïques installés sur le goudron d'une route départementale dans l'Orne, le 22 décembre 2016. REUTERS/Benoit Tessier Dans le département de l'Orne, en Normandie, une voie départementale a été recouverte de dalles photovoltaïques, sur 1 kilomètre. Il s'agit de panneaux solaires sur le sol capables de supporter le poids du trafic routier. C'est une première mondiale inaugurée jeudi 22 décembre par la ministre de l'Environnement, Ségolène Royal. A s'y méprendre, on pourrait croire que la chaussée est recouverte d'ardoises semblables à celles des toits des maisons normandes. Ces quelque 2 800 ...