Accéder au contenu principal

Un an après, Bruxelles se souvient des pires attentats de son histoire

Un an après, Bruxelles se souvient des pires attentats de son histoire

mediaLa place de la Bourse, à Bruxelles, s'est transformée en mémorial. A Bruxelles, le 23 mars 2016.REUTERS/Christian Hartmann
Il y a un an jour pour jour, le terrorisme frappait Bruxelles, faisant 32 morts et plus de 300 blessés, dont une femme toujours en soins intensifs à l’hôpital. Le 22 mars 2016, deux jihadistes déclenchaient leur ceinture d'explosifs dans l'aéroport de Zaventem. Quelques minutes plus tard, un troisième kamikaze se faisait exploser à la station de métro Maelbeek. Aujourd’hui, des cérémonies sont prévues en hommage aux victimes.
Avec notre bureau de Bruxelles,
Trois cérémonies ont été organisées à Bruxelles ce 22 mars par les autorités belges en présence du roi Philippe et de la reine. Elles seront ouvertes uniquement aux victimes des attentats et aux invités officiels mais retransmises en direct. Le programme suit à la minute le déroulement des attaques.
La première commémoration est celle de l’aéroport de Zaventem où une minute de silence a été observée à 7h58, là où a retenti la double explosion dans le hall des départs. La deuxième minute de silence aura lieu à 9h11 dans la station de métro Maelbeek, en plein centre du quartier européen.
De son côté, la régie des transports de Bruxelles a décidé d’organiser une minute de bruit en demandant à ses chauffeurs de bus et ses conducteurs de tramway de faire le plus de bruit possible pendant une minute, et aux voyageurs d’applaudir. La dernière cérémonie officielle est organisée à 10h30, toujours dans le quartier européen de Bruxelles où sera dévoilée une stèle en l’honneur de toutes les victimes d’attentat.
En dehors du programme officiel, il existe aussi plusieurs commémorations ou initiatives ponctuelles comme ce monument de la forêt de Soignes, aux portes de Bruxelles, qui consiste en un banc circulaire de 32 blocs de granit, entourés de 32 bouleaux fraichement plantés en l’hommage aux morts des attentats.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Université des sciences et technologies du Bénin

Université des sciences et technologies du Bénin Université des sciences et technologies du Bénin Siège de l'USTB à  Cotonou Informations Fondation 1996 Fondateur   Frédéric Dohou Type Université privée Régime linguistique Français Localisation Coordonnées 6° 22′ 58″ Nord ,  2° 27′ 22″ Est Ville Cotonou Pays   Bénin Campus 2 campus à  Cotonou  et 1 campus à  Porto-Novo Chiffres clés Étudiants 3 798  (en 2007) 1 Niveau Bac+2 à Bac+8 ( Doctorat ) Divers Affiliation Association internationale des universités  (AIU) Réseau des universités des sciences et technologies des pays d'Afrique au sud du Sahara (RUSTA) Géolocalisation sur la carte :  Bénin modifier   L' université des sciences et technologies du Bénin  ( USTB ) est une  université privée  d' Afrique de l'Ouest  dont le siège est situé sur le  domaine universitaire de K...

Haïti: les adversaires de Jovenel Moïse contestent son élection

Haïti: les adversaires de Jovenel Moïse contestent son élection Par  RFI Publié le 30-11-2016  Modifié le 30-11-2016 à 07:59 Un supporter de la candidate Maryse Narcisse lors d'une manifestation à Port-au-Prince, le 29 novembre 2016. REUTERS/Jeanty Junior Augustin Lundi soir, Jovenel Moïse a été donné vainqueur de la présidentielle en Haïti dès le premier tour. Les résultats préliminaires annoncés par le Conseil électoral le créditent de plus de 55% des suffrages. Mais cette large victoire du candidat PHTK est contestée par ses principaux concurrents qui vont utiliser les voies légales de recours, alors que dans les quartiers pauvres de la capitale, la colère s'exprime dans la rue. Avec notre correspondante à Port-au-Prince ,  Amélie Baron Dans les bastions historiques du parti Lavalas, la journée de mardi a été marquée par des affrontements entre la police et les sympathisants de Maryse Narcisse. Rose-Marie Romilus, fervente partisane de la candidate, ass...

PodcastCardinal Nzapalainga: «Je ne suis pas devenu cardinal pour chercher à être pape»

Podcast Cardinal Nzapalainga: «Je ne suis pas devenu cardinal pour chercher à être pape» Par  Jean-Jacques Louarn Diffusion : mardi 29 novembre 2016   L'archevêque de Bangui, en RCA, Mgr Dieudonné Nzapalainga, a été nommé cardinal par le pape François. AFP in Partager Réagir print Dix-sept cardinaux ont été créés le 19 novembre par le pape François. Parmi eux, l'archevêque de Bangui, Mgr Dieudonné Nzapalainga, qui devient ainsi le premier cardinal de l'histoire de la Centrafrique. A 49 ans, il est aussi le plus jeune des cardinaux. Mais les armes parlent à nouveau dans son pays, où la paix reste bien fragile. De passage à Paris, le cardinal Nzapalainga appelle à un sursaut national. Jean-Jacques Louarn l'a rencontré. RFI : Un pape, Noir, Africain, est-ce pour bientôt ? Mgr Dieudonné Nzapalainga :  L’Eglise catholique est une Eglise universelle. Jusqu’à présent, la question ne se pose pas, la question de Noir,...